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Posté le 23 avril 2024 dans Actualité.
L’utilisation d’un drone peut faciliter un diagnostic ou un état des lieux sans avoir recours à la mise en place d’échafaudages.
De plus, le drone peut également assurer un soutien dans le cadre du suivi des travaux.
Enfin, le stockage des données permet de conserver une trace sur l’évolution d’un chantier. Depuis le 1″‘ janvier 2021, la réglementation catégorise les vols de drone en fonction du niveau de risque qu’ils représentent. L’utilisation d’un drone pour effectuer des prises de vue ou des relevés en vue d’une inspection ou d’un diagnostic peut relever de la catégorie « Ouverte*» pour les vols à faible risque dès lors que l’on respecte un ensemble réduit d’exigences. En particulier, le vol doit être en vue directe et les localisations et hauteurs d’activité sont compatibles avec les restrictions d’espace applicables. Cela ne nécessite pas de déclaration ou d ‘autorisation pour chaque vol. En revanche, un enregistrement et une formation au préalable sur le portail AlphaTango sont nécessaires (à l’exception des drones de moins de 250 grammes).
De manière générale, la catégorie Ouverte permet de faire voler un drone de moins de 25 kg piloté à vue à une hauteur maximale de 120 mètres, en dehors des zones d’ interdiction, et en ne survolant pas des zones de rassemblement de personnes.
Les règles de base restent : se former, respecter les hauteurs maximales et les zones de restrictions, ne pas survoler d’autres personnes et respecter la vie privée.
Pour en savoir plus :
www.ffbatiment.f r/techniques-batiment/
enveloppe-du-botiment/couverture/dossier/
utilisation-drone-couverture
*Vol en vue directe dans des zones géographiques qui représentent un faible risque pour la circulation aérienne et pour les personnes.
(Source : Eau et confort n°017)